tag:blogger.com,1999:blog-17324607286271037422023-11-16T06:51:30.012-05:00Il était une fois dans le sud ...... du QuébecAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.comBlogger1587125tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-60239603119726499502018-02-08T08:28:00.002-05:002018-02-08T08:28:16.364-05:00<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
Il était une fois dans le sud... du Québec fait peau neuve.</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
On va vers l'avant, toujours en rose mais plus flashy et on change de nom:</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
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<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<a href="http://www.fifilles.ca/" style="margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px;">www.fifilles.ca</a></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
Sans filtres de mères en filles</div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
<br /></div>
<div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: transparent; color: black; font-family: Times New Roman; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; margin-bottom: 0px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; margin-top: 0px; orphans: 2; text-align: left; text-decoration: none; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px;">
Je vous y attends !</div>
<b></b><i></i><u></u><sub></sub><sup></sup><strike></strike><br /></div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-14598058049514807542018-02-07T07:53:00.001-05:002018-02-07T08:01:16.231-05:00le fou du village<p><br></p><p>Cher gars,</p><p><br></p><p align="justify">J’ai compris avec le temps que c’est pas tes gros bras de monsieur muscle qui m’attire nécessairement. De toutes façons, tu peux avoir ce bel élément décorateur attirant, mais alors que je regarde dans le blanc des yeux, tu es vides, sans âme, comme un zombie. Ça ne m’allume pas.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai compris que tu pouvais être riche comme Crésus ou avoir une situation exemplaire avec un poste solide et une réputation excellente. Mais que ça se pouvait que tu comptes toutes tes cennes parce que tu penses que faut tout mettre de côté pour plus tard.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai compris que les fleurs fanaient, que le chocolat fondait et que les soupers au restaurant se digéraient. Les plus beaux cadeaux ce sont ceux qui crées les beaux souvenirs, ceux qui feront que je resterai là, me rappelant que le quotidien est pas si tant plate. “Surprendre” , tu peux l’offrir n’importe comment à bas prix, pis je m’en rappellerai tout le temps. Toute ma vie.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai compris que ce qui m’attire le plus, c’est ton intelligence. Pas celle qui te fait compter 12 X 12. Celle qui va pousser ta créativité tellement loin qu’elle rendra la routine inexistante. Même entre deux toasts et un café le matin. Même quand t’auras à gérer 12 enfants sur le top de ta tête. Même pour sortir les poubelles sur le bord de la rue.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Que ta créativité et ta simplicité s’uniront pour créer la plus belle connerie du monde qui me fera éclater de rire pendant un bon 20 minutes. Un rire où je m’étoufferai solide et à me demander si ma vessie va tenir encore. Où lorsque le doute s’installera dans un lieu public, parce que ça “mauditement” pas d’allure.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Lorsque dormir en sleeping bag sur une galerie deviendra une option parce qu’on sera trop pauvre pour partir et que ça sera notre nowmans’land…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">… quand le ridicule sera trop intense mais que tu sais que tu n’en mourra pas. Et que j’aurai envie de me cacher parce que ça sera trop n’importe quoi. Pis que les madames vont te regarder avec des gros yeux de madames, parce qu’elles, elles te trouve trop flyé.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Là, je sais, je serai totalement séduite. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-53237343709360322882018-02-06T18:04:00.001-05:002018-02-06T18:18:50.626-05:00fugueuse<p align="justify"><br></p><p align="justify">Une des rares séries québécoises que je regarde à la télé.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Parce que j’ai 3 filles, j’essaie de voir dans cette série comment une jeune fille peut en arriver à faire confiance à de purs inconnus. Quelle détresse l’amène vers ce “refuge”. L’envie d’être aimée ? D’être reconnue ? Et pourtant, les parents sont là (dans la série).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Est-ce qu’être trop sévère comme parent amène ce genre de situation ? Comment doser la discipline, confiance et liberté sans avoir l’impression de les abandonner ? </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Bianca fêtera son 12e anniversaire. Son envie de liberté est palpable. Mais fragile devant certains conflits. Je la regarde grandir avec les formes d’une future femme et je me demande si je fais la “job” comme du monde. Saura-t-elle se méfier et flairer le piège ? Pourra-t-elle voir le faux nuage rose à des futurs faciles et extraordinaires ?</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On essaie de sensibiliser et par moment, on se demande si c’est juste pas mieux de les effrayer pour éviter qu’elles aient envie de liberté. Et pourtant, ma mère pense que j’ai été inconsciente durant ma jeunesse, et pourtant, j’avais l’impression de faire les bons choix. De rencontrer les bonnes personnes. Est-ce que j’ai été chanceuse ? Ou “allumée”?</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Comme tout le monde, je suis sous le choc mais pas surprise. La série ne fait que “crier” plus fort ce que depuis quelques années les journaux et livres essaient de dénoncer. Les jeunes filles qui disparaissent et qu’on retrouve quelques mois ou beaucoup plus tard.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Une réalité qui frappe les parents qui la vive. Mais faut-il vraiment attendre que ça soit TA fille qui soit mal prise pour prendre conscience du problème ? Je pense pas.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><font color="#dd8484"><strong>Ce qui me fâche le plus, c’est de constater que des hommes/femmes (oui oui j’suis sûre que y a de la madame là dedans) encouragent ce genre d’exploitation de “ptites filles”. Pour assouvir leurs besoins. Des besoins de marde. J’ai même pas envie d’être douce en nommant ce genre de traffic… parce que c’est innommable et inqualifiable.</strong></font> </p><p align="justify"><font color="#dd8484"><strong><br></strong></font></p><p align="justify"><font color="#dd8484"><strong>Comment on en arrive à vouloir satisfaire des “besoins” de cette manière. L’humain est à ce point dépravé ? L’être humain est méchant et ignoble à ce point là ? </strong></font></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ça me dégoûte !</p><p><br></p><blockquote><p>“y a une ‘tite fille dans ‘ rue<br>tu dis qu’c’est de sa faute<br>‘ a juste à s’grouiller l’cul<br>pas mettre la faute su’ ‘es autres<br>J’trouve qu’elle r’ssemble à ta fille<br>mais vu qu’t’es un bon père<br>elle vient d’une bonne famille<br>donc : C’est pas d’vos affaires<br>Si t’as pas mal aux autres<br>tes yeux restent fermés fort<br>Tu dis qu’c’est pas d’ta faute” – Dan Bigras - </p></blockquote><p><br></p><p>Une rencontre émouvante <a href="http://tva.canoe.ca/emissions/fugueuse/videos/ludivine-rencontre-noemie">http://tva.canoe.ca/emissions/fugueuse/videos/ludivine-rencontre-noemie</a></p><p>Ludivine rencontre Noémie</a>: Rencontre entre la comédienne Ludivine Reding et « Noémie », une adolescente victime d’exploitation sexuelle.</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-57771711967564656772018-01-31T09:43:00.001-05:002018-01-31T09:46:00.579-05:00FAUDRAIT<p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-pl74QZ8Yzwk/WnHWF98Et1I/AAAAAAAAQQ8/CGdUg5yJMagT7jl_Qe66ReWQyyvxYeGFACHMYCw/s1600-h/DSCF4639%2B%25281%2529%255B4%255D"><img width="634" height="424" title="DSCF4639 (1)" style="display: inline; background-image: none;" alt="DSCF4639 (1)" src="https://lh3.googleusercontent.com/-iZDQJCFhYXU/WnHWGZvoHBI/AAAAAAAAQRA/o1-ekalsKIU5fO8fdx_Wr7oQJG3SGA_HwCHMYCw/DSCF4639%2B%25281%2529_thumb%255B1%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify">Ces temps-ci c’est le festival du “FAUDRAIT QUE…” Le genre de mot qui tamponne notre tête à tous les matins, tous les midis et tous les soirs et qui s’allie avec le “demain je me botte le cul”. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je trouve ça pathétique de me donner des coups de “FAUDRAIT QUE” à ma tête, tel un coup planche de “plywood”, comme si plus tu “fesses” fort, plus tu vas le faire. Ou plus tu te tortures, plus tu devrais le faire ? Mais plus je tape fort sur moi-même… je décourage et je reste dans le fond de mon divan. Anyway, j’vois pas le but, ça sera même pas l’fun.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Il me semble que c’est pas “FAUDRAIT QUE” qui retontisse dans mon coeur et dans ma tête, mais “J’AI LE GOÛT DE”. Parce que c’est plaisant, agréable et que je vais triper de tout mon corps dans cette activité là.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On dirait que cet activité là, elle existe pas. Non, je la trouve juste pas. Quelque chose qui fera que “OUI, ça va être super cool!”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai le feeling de regarder derrière moi et d’envier tout ce que je faisais facilement. Mais aujourd’hui, ce matin, toutes ces activités, ne me tente plus. Elles ne me font plus vibrer. C’est bizarre.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’avais besoin de me “garocher” partout pour gérer mes idées, mes émotions pour me sentir vivante. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Aujourd’hui, je sais que j’ai besoin de calme, de douceur, d’être contemplative, émerveillée et de vivre chaque instant. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai besoin de vibrer autrement !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-72525500365506012292018-01-29T08:29:00.001-05:002018-01-29T08:39:45.900-05:00L’Antidoute<p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-wX_C81G3TeU/Wm8hwq0yHmI/AAAAAAAAQQQ/TS9AZHsIbycjYDHKc2f1YQCxFb1Fyw08gCHMYCw/s1600-h/14359122_1764526477137103_5827754953387468791_n%255B2%255D"><br></a></p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-wX_C81G3TeU/Wm8hwq0yHmI/AAAAAAAAQQQ/TS9AZHsIbycjYDHKc2f1YQCxFb1Fyw08gCHMYCw/s1600-h/14359122_1764526477137103_5827754953387468791_n%255B2%255D"><img width="244" height="244" title="14359122_1764526477137103_5827754953387468791_n" style="margin: 0px auto; float: none; display: block; background-image: none;" alt="14359122_1764526477137103_5827754953387468791_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-c2VwPvRjFEE/Wm8hxactQ3I/AAAAAAAAQQU/8nEF9Qx28-A_JB9Gp_sT0Z6Y0JLFQEh4ACHMYCw/14359122_1764526477137103_5827754953387468791_n_thumb?imgmax=800" border="0"><br></a><p align="justify"><a href="https://www.fredericdion.com/" target="_blank">Frédéric Dion</a> c’est l’expert en survie d’<a href="https://expeditionextreme.ztele.com/" target="_blank">Expédition Extrême</a>. C’est là que j’ai réalisé son “existence”. C’est un “fou à lier”, aventurier et conférencier. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ce qui m’a fait allumer = <a href="https://www.fredericdion.com/lantidoute/" target="_blank">L’ANTIDOUTE</a>. Ça m’a tellement accroché que je l’ai de tatoué sur mon avant-bras gauche.</p><p align="justify"><br></p><blockquote><p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-raC1cQBg660/Wm8hxljZ1JI/AAAAAAAAQQY/uSAalesMSx03Ya6kXAXxRFxBqBPwinWLgCHMYCw/s1600-h/27497467_10155080056720766_2041204123_n%255B5%255D"><img width="266" height="355" title="27497467_10155080056720766_2041204123_n" align="left" style="margin: 0px 13px 0px 0px; border: 0px currentcolor; border-image: none; float: left; display: inline; background-image: none;" alt="27497467_10155080056720766_2041204123_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-cE-Ahui-P3c/Wm8hx3GXMmI/AAAAAAAAQQc/bS3_XFB-pd4oj7GGdG8pbkrw6Sh60lr5ACHMYCw/27497467_10155080056720766_2041204123_n_thumb%255B3%255D?imgmax=800" border="0"><br></a></p><p align="justify">“Les plus grands obstacles à nos réalisations de demain sont nos doutes d’aujourd’hui.<br>L’art de diviser des objectifs en étapes simples pour qu’ils deviennent facilement réalisables. C’est une façon efficace de nous ancrer dans le présent et d’empêcher le doute d’envahir nos pensées. Elle nous ramène à l’essentiel de la vie : l’ici et maintenant.”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><br></p></blockquote><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ce qui est très intéressant, c’est de transposer ses trucs pour affronter ses peurs, ses doutes afin de réaliser ses plus grands objectifs et surtout même s’ils sont complètement fous. L’idée principale en survie et partout dans nos vies, c’est d’envisager l’instant présent avec les faits pour éviter le doute, la peur… émotions qui font que nous ne prenons pas les bonnes décisions dans les moments importants ou de survie.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Plusieurs vidéos sont disponibles sur le site d’<a href="https://expeditionextreme.ztele.com/astuces/" target="_blank">Expédition extrême</a>: l’antidoute, le kilomètre de plus, pouvoir d’investissement et logique VS peur. Des trucs qui se transposent facilement dans la vie de tous comme une belle aventure et un grand défi à relever.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Frédéric Dion propose des conférences, des livres (que j’ai lu en une soirée). C’est tout simplement inspirant. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">D’ailleurs, je vais à la conférence qu’il donne ce <a href="https://www.facebook.com/events/1535038746585294/" target="_blank">31 janvier à Trois-Rivières.</a> Je vous en glisserai quelques mots à mon retour. À mon avis, ça sera un beau complément aux livres et aux outils.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et vous, quel sera votre plus grand défi ? <img class="wlEmoticon wlEmoticon-smile" style="" alt="Smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-Nbb7iKTReHc/Wm8hyfbEIYI/AAAAAAAAQQg/kTcZ6dQjOy8Kc7E7clu3Vd71wCBc_PkXACHMYCw/wlEmoticon-smile%255B2%255D?imgmax=800"></p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><iframe width="560" height="432" src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fdionfred%2Fvideos%2F1995855110670904%2F&show_text=1&width=560" frameborder="0" scrolling="no" allowfullscreen="true" style="border: currentcolor; border-image: none; overflow: hidden;" allowtransparency="true"></iframe></p><p align="justify"><br></p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-23552463847422978682018-01-03T09:20:00.001-05:002018-01-03T09:40:42.777-05:00Il était une fois… un pont !<h3 align="justify">*** Mise en contexte****</h3><p align="justify">Nous sommes en 1970 . Avant d’être fusionnée, la Ville de Cap-de-la-Madeleine était autonome et arborait ses couleurs comme une grande.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Reliant le vieux Trois-Rivières (Downtown), le pont Duplessis qui défait la légende que Trois-Rivières a bien trois rivières: La Saint-Maurice est simplement divisée en trois par quelques îles dont l'île St-Quentin…</p><p><br></p><p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-LlhndY8aYgw/WkzmtJBytAI/AAAAAAAAQPo/hfjIJd_-Y6YHeJyGQ2i_OL19y9yL_NYWwCHMYCw/s1600-h/pont_duplessis113_8%255B3%255D"><img width="638" height="413" title="pont_duplessis113_8" style="display: inline; background-image: none;" alt="pont_duplessis113_8" src="https://lh3.googleusercontent.com/-J3YMR9DaRZ4/WkzmtrbBoTI/AAAAAAAAQPs/VKP2925dSgMzLMbtjp-buMv63gt_-SXJgCHMYCw/pont_duplessis113_8_thumb%255B1%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p><br></p><p align="justify">Dans ce temps là, ma mère habite le Cap-de-la-Madeleine mais fréquente le Cégep de Trois-Rivières. Elle y rencontre ce qui deviendra mon parrain (Jean) et mon papa (Marcel).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Elle a fréquenté mon parrain au départ et finalement, s’est marié avec mon papa. Par la suite, mon papa a présenté Jean à sa soeur. Ils deviendront mes parrain/marraine.</p><h3 align="justify">*** Fin de la mise en contexte ***</h3><p align="justify"><br></p><p align="justify">Discussion du souper du 1 janvier 2018 avec la famille “paternelle”.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Moi: “J’ai jamais compris pourquoi ma mère a marié mon père… tellement pas beau ! Mon oncle Jean était ben plus beau”!</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mon oncle Norman: “Ben c’est pas compliqué, ton parrain avait pas le droit de traverser le pont!</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Moi: –WHAT? Le pont ? Quel pont ? Pas le gros pont Laviolette certain!</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Norman: – non le pont qui fait le lien entre Trois-Rivières et le Cap-de-la-Madeleine. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Moi: WHAT!! C’est pas un pont ça !!!!!!!!!!</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Norman: Mais ton père lui, le traversait !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Moi: Okkkkkkkkkkkkk faque ta soeur elle était du bon bord du pont ?</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Norman: ben oui !”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Famille morte de rire autour de la table !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">********************************** NOTE *****************************************</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">En fait, <a href="http://mgroleau.com/troisrivieres/chutepontduplessis31janvier1951.html" target="_blank">le pont Duplessis s’est effondré</a>. De là la crainte de le traverser. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On s’entend que c’est pas vraiment la vraie histoire de ma mère, de mon père, de mon oncle et ma tante. Mais elle est drôle en ta !</p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-66708515888506411022017-12-16T09:48:00.001-05:002017-12-16T09:58:25.705-05:00Plein air rien d’inclus<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on">
<div align="justify">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-OjxltpdOreM/WjUyRylUtHI/AAAAAAAAQN0/9LTm1DoVz3QS4IudZBfhJSAk-BM5pF6lwCHMYCw/s1600-h/13731003_10153616813275766_6183054912342937886_o%255B3%255D" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img alt="13731003_10153616813275766_6183054912342937886_o" border="0" height="494" src="https://lh3.googleusercontent.com/-C760pyFiOJw/WjUySS_1FtI/AAAAAAAAQN4/FwK8Pj8hxhQwG78YG9g_-lywAmXq0LBtwCHMYCw/13731003_10153616813275766_6183054912342937886_o_thumb%255B1%255D?imgmax=800" style="background-image: none; display: inline;" title="13731003_10153616813275766_6183054912342937886_o" width="658" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Vers les chutes Weber du Parc de la Mauricie avec ma mouman</td></tr>
</tbody></table>
<div align="justify">
Mon enfance est teintée des passions de mes parents. Surtout une qui a a créé nos souvenirs d’enfants: le plein air.</div>
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<br /></div>
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Mais surtout, du pas cher, parce qu’on avait pas les moyens.</div>
<div align="justify">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><div style="text-align: left;">
<a href="https://lh3.googleusercontent.com/-LUlDp5uHbuI/WjU0E0xDrXI/AAAAAAAAQO8/iUogGsACX0oNxk-rHZZTxjkvVx1GDmfXACHMYCw/s1600-h/25442863_10154975632110766_77251602295411475_n%255B8%255D" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img alt="25442863_10154975632110766_77251602295411475_n" border="0" height="220" src="https://lh3.googleusercontent.com/-qKVtmJz9flQ/WjU0Fbkt4kI/AAAAAAAAQPA/eepHb5wTcMImgBda_x8Nh0XX48_5mJGywCHMYCw/25442863_10154975632110766_77251602295411475_n_thumb%255B6%255D?imgmax=800" style="background-image: none; display: inline; float: left; margin: 0px 5px 0px 0px; text-align: left;" title="25442863_10154975632110766_77251602295411475_n" width="276" /></a></div>
</td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">moi, à 3 ans peut-être</td></tr>
</tbody></table>
<div align="justify">
J’ai connu les skis de fond laittes en plastique rouge, les raquettes aussi laittes en plastique rouge qui ne pliaient pas quand tu traversais un fossé mais qui cassaient, la traîne sauvage de mon grand-père surmontée d’un espèce de traineau en bois pour qu’on reste assis dedans (même à un âge où tu t’assois pas clairement), le canot rouge qui longe les lacs du Parc de la Mauricie avant même que ça devienne trop populaire, la pêche… avec une petite fille qui panique à chaque fois qu’un poisson sort de l’eau (oui c’est moi), les tentes, les feux de bois, les patates pilées en pourdre, le spag catelli…</div>
<div align="justify">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-wZrAle_ZL_I/WjU0FuRr38I/AAAAAAAAQPE/7U9_jkPENTMxMf1JhgsYdcjQcysTV4UPwCHMYCw/s1600-h/25398849_10154975632720766_2893866513625572415_n%255B12%255D" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img align="right" alt="25398849_10154975632720766_2893866513625572415_n" border="0" height="279" src="https://lh3.googleusercontent.com/-iU3B_mVbTwY/WjU0GApJdgI/AAAAAAAAQPI/7DVwqSWAe4czYkAMxqpleNpmbGklhO9tgCHMYCw/25398849_10154975632720766_2893866513625572415_n_thumb%255B8%255D?imgmax=800" style="background-image: none; display: inline; float: right; margin: 0px 0px 0px 5px;" title="25398849_10154975632720766_2893866513625572415_n" width="222" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le super traineau</td></tr>
</tbody></table>
<div align="justify">
… Les oiseaux qui chantent à 5 h du matin, le silence du camping parce qu’on se levait trop de bonne heure, l’odeur de la nature qui se réveille, les toasts sur le feu, les céréales en petites boîtes qui défoncent tout le temps parce que le couteau passe au travers, la cruche d’eau qu’il fallait remplir parce que des services, P’pa y en prenait pas.</div>
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<br /></div>
<div align="justify">
La Gaspésie quand on avait encore le droit d’aller dans le trou du rocher percé (en gougounnes), pogner la varicelle à l’île-du-Prince-Edouard quand y avait même pas de pont, manger du pain dure comme de la roche à Fort Lennox, parce que les soldats “dans le temps” c’est de ça qu’ils se nourrissaient, Niagara Falls quand les chutes étaient même pas illuminées et que le parc Marineland comptait à peine 3 ou 4 attractions. </div>
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<br /></div>
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<br /></div>
<div align="justify">
On a toujours été dans la nature. Même quand on était trop petit pour y aller (paraît). On a garoché nos suces dans le Wapizagonke, on a tiré des rames à l’eau parce qu’on apprenait à ramer, mon frère vidait la glacière pis moi je trainais ma main dans l’eau, jusqu’à ce que je tombe dedans…</div>
<div align="justify">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-BM2WW1sKAqw/WjUyUX7chEI/AAAAAAAAQOM/a-yZSK89dwUvqA6OKs4J4gzGsjVBqbiYACHMYCw/s1600-h/25498161_10154975636875766_5847965301517261259_n%255B6%255D" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img alt="25498161_10154975636875766_5847965301517261259_n" border="0" height="443" src="https://lh3.googleusercontent.com/-LxO6P2swuYg/WjUyUy4CXxI/AAAAAAAAQOQ/_RmzKNtN8DYas2x_o18_bfpwQNx7RJXOQCHMYCw/25498161_10154975636875766_5847965301517261259_n_thumb%255B2%255D?imgmax=800" style="background-image: none; display: inline;" title="25498161_10154975636875766_5847965301517261259_n" width="658" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Quelque part, dans le coin de la Gaspésie, je suppose</td></tr>
</tbody></table>
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<br /></div>
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J’ai 42 ans. </div>
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<br /></div>
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Aujourd’hui, voyager, c’est encore ça, pour moi ! <img alt="Smile" class="wlEmoticon wlEmoticon-smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-3o8A9QZG72Y/WjUyVIbYrAI/AAAAAAAAQOU/3QyttmPgFKoPJzLhs9htsfXXeD3JbnnbwCHMYCw/wlEmoticon-smile%255B2%255D?imgmax=800" /> </div>
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</div>
</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-48686201813119414102017-12-15T08:34:00.001-05:002017-12-15T08:38:26.798-05:00RIEN<p>J’ai un TDA… je soupçonne l’hyperactivité d’être présente, mais ça l’air que non.</p><p><br></p><p>Je suis médicamentée. </p><p><br></p><p>Actuellement, je n’ai pas d’emploi, pu de relation amoureuse et pu de projet…</p><p><br></p><p>Mais je suis médicamentée tous les jours. Même quand je “fous rien”.</p><p><br></p><p>Et savez-vous-tu pourquoi ?</p><p><br></p><p>Parce que je suis en train DE DÉPECER mes murs. J’suis pu capable ! Tsé PU CAPAB’</p><p><br></p><p>Enligner la vaisselle salle qu’il faudrait laver, la montagne de linges à laver, aller marcher mon mile obligatoire…</p><p><br></p><p>Tsé rien pour “tripper”! Rien pour se sentir en vie ! Rien pour se casser la tête. Tsé, ce que tout être humain voudrait faire à longueur de journée…</p><p><br></p><p>Tsé du temps pour se faire masser, écouter de séries à ne plus finir, lire des livres non stop, se lever le matin et siroter son café indéfiniment…. Tsé, rien faire pantoute. RIEN, le néant, nothing, nada… rien</p><p><br></p><p>Ben tabouère, je prends des pilules parce que je m’emmerde. </p><p><br></p><p>Pis les projets que je voudrais faire là, je peux pas avant l’automne prochain (mettez tous les sacres que vous voulez)…</p><p><br></p><p>“Prends soin de toi!”… C’est beau là ! C’est faite. Je peux tu faire autre chose s’il vous plaît? </p><p><br></p><p>J’ai l’impression de perdre mon temps à me regarder vieillir, à me lamenter sur mon pauvre moi-même qui tourne en rond dans une cuisine tellement grande que la porte du frigo accote sur le lave-vaisselle.</p><p><br></p><p>Je veux vivre, je veux être heureuse, je veux être créative, profiter de la vie…</p><p><br></p><p>Mais c’est moi qui prends de pilule. Parce qu’être plate, ça fait pas partie de mes projets !</p><p><br></p><p>Je me sens comme, genre, style, morte.</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-64876720517444316412017-12-13T08:05:00.001-05:002017-12-13T08:05:06.625-05:00Coup de foudre<p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-mFOHuvd-OjA/WjEldyul8MI/AAAAAAAAQNc/Nu-QLiDB6dYxTCw54CeuGJ46DTcjRRc5QCHMYCw/s1600-h/dan_bigras%255B6%255D"><img width="658" height="380" title="dan_bigras" style="display: inline; background-image: none;" alt="dan_bigras" src="https://lh3.googleusercontent.com/-i8YlLrAi9oo/WjElfSfVjFI/AAAAAAAAQNg/TIdTeGKstRcr46mOF6Pb3MZFcza8wX7BgCHMYCw/dan_bigras_thumb%255B4%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p><br></p><p align="justify"><a href="https://www.facebook.com/DanBigrasPageOfficielle/" target="_blank">Dan Bigras</a>, c’est un musicien, un auteur-compositeur que je respecte grandement. Je n’aime pas particulièrement ses chansons (quelques unes). Mais le “bonhomme” est réellement attachant. Il dégage une authenticité qui me pète dans face et ça me séduit à chaque fois. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mais là… achat de sa biographie: <a href="https://www.quebec-amerique.com/livres/collections/biographies-idees/biographie/le-temps-des-seigneurs-2364.html" target="_blank">Le temps des seigneurs</a></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Un coup de foudre total. Le bonhomme m’arrache les émotions en tirant dessus à grand coup de douceur. Je suis sur le cul. Je me surprend à rire à voix haute pour ses niaiseries complètement déjantées, je suis émue par la tendresse et le respect au monde le plus massacré de notre société qu’il traite avec humanisme et tendresse. Sa vision du monde, de son art complètement différent du Jetset “québécois”. Des convictions ancrés et grounder solide. Celui qui ouvre sa grande yeule pour faire avancer les choses. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Il ne plie pas.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Il doute, pourtant, tout le temps de sa capacité d’écriture. Alors que c’est juste simple, facile et intense. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai un grand faible pour ce monsieur, le bonhomme me rappelle constamment mon papa. Un papa qui a pas su comment exprimer sa tendresse, parce qu’il l’avait pas appris.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On peux-tu le garder encore un peu, Monsieur Bigras ? Atteins d’un cancer, je lui souhaite toute l’énergie du monde pour qu’il guérisse.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Parce que lui, contrairement à certains, quand il va partir, ça va faire mal !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-53015285827618628742017-12-12T06:36:00.001-05:002017-12-12T06:36:06.578-05:00éducation 101–mon papa<p align="justify">Quand on était petit, la maison de nos parents était (et elle y est toujours) sur le boulevard St-Louis (qui deviendra Thibeault) à Saint-Louis-de-France (maintenant Trois-Rivières). Un boulevard dangereux, passant et ça roule “rien’que sur un temps”.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Juste pour vous illustrer le danger:</p><p align="justify"><br></p><ul><li><div align="justify">Un voleur est déjà passé devant la fenêtre du salon pour éviter de se faire tirer dessus par les policiers;</div></li><li><div align="justify">Si tu niaises trop longtemps pour virer dans une entrée et que tu surveilles pas derrière toi, ça se pourrait que tu te fasses rentrer dedans;</div></li><li><div align="justify">On attendait l’autobus, il y a eu un accident et une des voitures a fait une embardée sur notre terrain (on se tenait loin de la route);</div></li></ul><p align="justify"><br></p><p align="justify">Un jour, y a un beau pitit chat qui tente de traverser <strike>la rue</strike> le boulevard. Bizarrement, on l’a vu faire. Et comme de fait, il a comme pas survécu. Quelques secondes plus tard, c’était le chat écrapou !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et c’est là que mon papa nous a fait comprendre, à sa manière, que traverser la rue c’était dangereux:</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">“Vous avez vu le p’tit chat ?</p><p align="justify">- Oui !</p><p align="justify">- Ben si tu traverses, il va t’arriver la même chose!”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On a jamais traversé la rue !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-11956571160188248242017-12-11T09:05:00.001-05:002017-12-11T09:10:39.181-05:00Le wack de la mort<p align="justify"><br></p><p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-ZsMIhMFVftU/Wi6Qif7HhKI/AAAAAAAAQNE/sYOiiQ_7zKYCw5l057xta7X_2gmTpHwjgCHMYCw/s1600-h/24991384_10154961379720766_141213680759554210_n%255B4%255D"><img width="654" height="654" title="24991384_10154961379720766_141213680759554210_n" style="border: 0px currentcolor; border-image: none; display: inline; background-image: none;" alt="24991384_10154961379720766_141213680759554210_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-g4ogIHuAGjk/Wi6QjI0v1wI/AAAAAAAAQNI/kT-h9xsbgIIWyJ5lXIicMcha39f3kAffgCHMYCw/24991384_10154961379720766_141213680759554210_n_thumb%255B2%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify">Hier, alors que je faisais une randonnée avec mon super pitou, j’ai pris conscience d’une de mes forces. Et c’est vraiment “inconscient” et niaiseux. Je réalise que je le fais avec les enfants et nécessairement avec mon chien.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Cependant, ça évite des “accidents” qui pourraient être graves.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’est quoi ?</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"> Ma voix ! </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’est une amie qui m’a fait réalisé ça, alors qu’on “prenait une marche” sur la piste cyclable en ville. La piste traverse 3 grandes rues très passantes (Bois-Francs, Notre-Dame et Labbé).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">L’amie en question, tiens la main de sa fille avec la poussette du mieux qu’elle peut. Moi, je lâche lousse mon troupeau. Bon au moins, elles ont compris les principes de base: tu te tiens à droite, tu ne joues pas au zigzag et la ligne jaune, même sur une piste cyclable, tu la traverses pas. En plus, si tu m’entends pas, t’es trop loin, tu reviens ou tu attends.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mais, comme je doute par moment de leur fiabilité, surtout lorsqu’une grande rue traverse la piste cyclable, et ce, malgré les 12 stops, les lumières qui flash et la traverse rouge fluo… je reste alerte, en cas que.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et comme de fait, je te vois-tu pas Bianca qui part vers la rue; et à moins de courir un sprint à la Brunie Surrin, je vois pas comment je vais empêcher la catastrophe.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Tout ce qui sort de ma bouche c’est un “Aie!” ben fort, ben sec qui veut tout dire. Bibi se vire de bord, arrête net frette sec et me garoche “Je l’ai vu maman ! T’inquiète pas!”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mon amie est sans connaissance ! “Comment tu fais?”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Hier, je détache Tao pour aller se balader dans les sentiers. Drôle de réaction, il vire de bord et se dirige vers la rue Jutras… </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">S’en ressort encore un “Aie” grogneux et sec qui exprime ma pensée “où tu penses que tu t’en vas toi “criss”?”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Tao vire de bord et s’enligne sur le bois.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je sais pas comment je fais, mais si j’avais pas ça, j’aurais des enfants et un chien écrasés sous un char !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-53061443076527595722017-12-05T07:50:00.001-05:002017-12-05T07:50:03.605-05:00“J’suis qui moé?”<p align="justify">Je suis actuellement en train de travailler sur “j’suis qui moé?” (oui oui pensé de même) afin de trouver ma place dans le milieu du travail. En même temps, je réalise, que c’est la base principale de toutes nos sphères de vie: sociale, professionnelle et personnelle. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai réalisé avec ma conseillère en orientation de SIE (oui oui elle m’appartient –rires), que ma typologie de base tant au niveau des intérêts, des traits personnels et de mes valeurs est axée principalement sur un type Artistique épaulé du sociable. Le tout parsemé de traits personnels solidaire, audacieux, passionné, dynamique, engagé, revendicateur, visionnaire et persuasif….</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ce fut un choc plus que positif de me reconnaître enfin et de mettre des mots sur “j’suis qui moé?”. Ça explique plein de belles choses. Ça explique aussi, surtout, que je suis bonne, mais peut-être pas juste dans bonne “track”.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ce qui est très drôle, c’est qu’inconsciemment, dans cette construction de mon estime de moi, je suis en train de me monter une espèce d’équipe “d’avengers” de l’estime de soi. Et je ne fais même pas exprès. Ce qui est impressionnant là dedans, c’est que les 3 (et bientôt 4) s’entendent sur ce que je suis sans même se parler entre eux. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Preuve de ma belle authenticité ou preuve que je suis une excellente menteuse <img class="wlEmoticon wlEmoticon-winkingsmile" style="" alt="Winking smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-bkN7Z3e-gBM/WiaV-jDutEI/AAAAAAAAQMg/GKeiMekGrtU40uknuELcedgJUCMEEzyqACHMYCw/wlEmoticon-winkingsmile%255B2%255D?imgmax=800"></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Bref, c’est rassurant pour moi qui est abonnée au festival du “coup de la poêle” dans le front. Au lieu de se féliciter, on se tape dessus… c’est “super” valorisant d’abord !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Maintenant, je sais que pour trouver du travail, je dois focusser sur mes forces au lieu de me “garocher” sur toutes les offres d’emploi en panique… d’un coup que j’arrive pas. De toutes façons, comme je ne cadre pas dans certains postes, il est évident que ça deviendra un échec, donc, une belle claque sur la fiole pour me sentir encore super poche ! (coup de poêle dans le front)</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Si vous voulez lire sur le sujet: </p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><a title="https://www.csdn.qc.ca/ScriptorBD/documents/821377/typologieHolland[1].pdf" href="https://www.csdn.qc.ca/ScriptorBD/documents/821377/typologieHolland[1].pdf">https://www.csdn.qc.ca/ScriptorBD/documents/821377/typologieHolland[1].pdf</a></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-28527881833200274082017-11-24T10:02:00.001-05:002017-11-24T10:11:34.911-05:00L’Écriveuse<p>Chez nous, on naît à coup de deux. Dans la limite du pareil mais défini dans la différence. J’imagine que c’était mieux de même, mettre autant de créativité dans une seule tête, ça aurait débordée.</p><p><br></p><p>Le dessineux, c’est mon frère. Avec une aisance hors du commun. Y devait avoir des crayons de caché entre ses orteils en venant au monde. Les traits lui sortent des doigts à grands gestes et il le sait, où il s’en va. C’est magique !</p><p><br></p><p align="justify"> L’écriveuse, c’est moi. Un amour profond des mots, des phrases et du “pouette” (poète). Là où les émotions ne se racontent pas, mais se vivent… intensément. Les mots virevoltent dans ma tête pour imager ce que je ressens. Pas des faits, pas de la logique… juste des émotions.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Depuis je ne sais quand et où, j’ai le crayon qui se fait aller sans arrêt. Le dessin, j’y arrive, mais c’est un combat éternel avec mon cerveau. Écrire… jamais. Je ne remets pas en doute mon style, mes mots … je ne me questionne pas et personne, n’a le droit de me dire comment faire. Parce que je ne le ferai pas. C’est à moi…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’ai écrit des pages à ne plus finir de textes, de lettres, de romans qui se peuvent pas. Je rêve de moduler les feuilles et de pitonner pour en finir à arriver à peut-être dire discrètement, j’écris. Mais c’est mon secret que je ne vante pas. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’est en valsant sur les airs de paroles de Fred Pellerin que j’ai compris pourquoi j’écris, ici. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Ce n’est pas pour défendre des droits, ni pour me battre, ni pour justifier quoi que ce soit. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Le blog, c’est une défaite de bottine. Pour installer mes mots quelque part en laissant une petite trace, là où ils peuvent faire du bien. C’est une excuse, pour vous imposer mes écrits et vous faire vibrer sur ma longueur d’onde. C’est un égoisterie pure et dure, en fait. Ça me pousse, chaque jour, à prendre un instant pour essayer de raconter ce qui peut paraître le plus plate au monde, un quotidien.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Parce que pendant ce temps là, je suis bien. <img class="wlEmoticon wlEmoticon-smile" style="" alt="Smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-FuA1QUcMDgo/Whg0j5CXzXI/AAAAAAAAQMA/IcBS14kClF0EeXHs_qWS4QaCvHSXT4x7wCHMYCw/wlEmoticon-smile%255B2%255D?imgmax=800"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-19322719250009161732017-11-23T08:56:00.001-05:002017-11-23T09:02:14.098-05:00Un perpétuel volcan<p align="justify">Je m’installe, je veux écrire un article de blogue. Le portable sur la table de cuisine, les pieds étendus sur la chaise en face de moi, un café et un Perrier à gauche, du papier à droite et 3 tonnes de crayons partout. J’essaie une première tentative… jusqu’à ce que…<p align="justify"><br><p align="justify">Bibi vienne me raconter un rêve (qui fini pu de finir), Fluffyman qui me demande comment j’envisage ma journée, Eve qui me parle d’un truc organisé à l’école, Sarah qui écoute des vidéos sur l’autre portable plus la télé qui joue dans le vide. S’ensuivent deux messages sur Messenger et possiblement mon cellulaire qui m’avise qu’un texto est rentré. Tout ça, simultanément…<p align="justify"><br><p align="justify">Je finis par pogner les nerfs parce que je ne comprends pas qu’ils ne comprennent pas. <p align="justify">Je recommence mon article 4 fois, je perds mon idée et c’est le chaos… dans ma tête. Mais ils ne comprennent pas. Ils ne le voient pas. C’est trop abstrait.<p align="justify"><br><p align="justify">J’ai pourtant expliqué souvent que je ne pouvais pas me concentrer dans les circonstances imposées. C’est lourd, c’est fatigant et je viens complètement épuisée. C’est comme si, on vous bombardait à longueur de temps (24 h sur 24) avec des petites roches. Rien de douloureux, mais juste assez pour « gosser ». Au bout d’un certain temps, l’impatience et l’intolérance s’installent et ça pète !<p align="justify"><br><p align="justify">Et ce qui est fâchant, c’est d’essayer d’expliquer qu’on n’est pas capable de faire autrement. Que notre réalité est différente. Que notre fonctionnement est « particulier ». C’est difficile aussi de constamment rappeler à l’autre que c’est notre réalité. Et qu’on ne peut pas rien y faire pour la changer. Il faut juste se trouver des outils, des idées pour s’adapter autrement.<p align="justify"><br><p align="justify">Sauf que, pour ça, il faut que l’autre… comprenne et assimile que je suis différente !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-87573625217213470862017-11-21T07:41:00.001-05:002017-11-21T07:41:42.396-05:00Famille de tda<p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-MqbKNh50S7A/WhQe83g25HI/AAAAAAAAQLQ/U_RlcikyxdA6NlVg76iRNRtyVuulZnq3wCHMYCw/s1600-h/clip_image001%255B5%255D"><img width="320" height="320" title="clip_image001" align="left" style="margin: 0px 5px 0px 0px; float: left; display: inline; background-image: none;" alt="clip_image001" src="https://lh3.googleusercontent.com/-4Xk4NG5q3vg/WhQe9X6_DkI/AAAAAAAAQLU/bF_PSfrj-hMlGDfBeZ_9-rZgeW9eTZd2QCHMYCw/clip_image001_thumb%255B2%255D?imgmax=800" border="0"></a>La rencontre des professeurs est toujours une rencontre redoutée pour la maman que je suis. C’est le signal des</p><p align="justify"> « ça va pas supers biens » et des plans d’interventions qui finissent plus. Honnêtement, si je pouvais les skipper… je le ferais. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Cette année, c’est la première rencontre alors que les jumelles sont médicamentées (et moi aussi). Étrangement, on est chanceuses, la dose des filles est déjà stable et on a vu des changements très rapidement. Mais à ce point-là, je ne le savais pas ! C’est à la rencontre des professeurs qu’on m’a « jetée à terre ».<h4>AU DÉPART</h4><p align="justify">Les jumelles, lors de l’année scolaire, étaient incapables de faire un travail. Ou si elles le faisaient, elles devaient prendre plus de temps, utiliser les coquilles pour diminuer le bruit et les sautes d’humeur étaient intenses. C’était invivable pour tout le monde, surtout à l’école. En plus d’être incapables d’assimiler la matière à la même vitesse que le reste de la classe. Eve qui a un caractère plus intense et fort que Sarah cumulait les billets d’avertissements, les punitions… Plus ça allait, moins elle se trouvait bonne et elle en voulait à toute la planète. Elle pouvait, facilement, mordre tous les élèves dans un rang, parce qu’elle se sentait persécutée. Ce qui a engendré comme le recommencement de leur 2e année pour les jumelles.<h4>AUJOURD’HUI</h4><p align="justify">Sarah est adorée de sa professeure. Elle fait des phrases complètes et des textes structurés. Elle, qui l’an passé, avait du mal à aligner deux mots. Elle donne un coup de main à son professeur et elle fonctionne. Elle réussit très bien, même si elle ne sort jamais ses livres le soir (chose que je dois modifier). Dernièrement, elle a eu 100 % sur un travail… j’étais carrément sur le « cul ». <p align="justify"><br><p align="justify">Eve a le même professeur que l’an passé. L’an passé, ça se passait vraiment mal. Cette année, celle qui en arrachait le plus à l’école, celle avec qui il fallait se battre pour qu’elle y aille, celle qui sortait ses livres, mais que ses notes ne reflétaient pas le travail… c’était ma mini Eve. Et là… ce n’est plus la même petite fille.<p align="justify"><br><p align="justify">Lors d’un travail, alors que toute la classe ne réussit pas, Eve nous clanche un 85 % et c’est parce qu’elle n’a pas eu le temps de finir la dernière question. Sinon, elle réussissait avec un 95 %. Elle rapporte des super résultats. C’est juste… Flabbergastant ! Sa professeure n’a plus la même élève et ma fille a vieilli de 5 ans en quelques semaines. <p align="justify"><br><p align="justify">Elle travaille fort, elle fait ses leçons et ses devoirs. Elle gère sa médication elle-même et m’avertit d’ailleurs quand c’est le temps de renouveler sa prescription. Elle aide à la maison, elle est calme, concentrée… Et son estime d’elle-même a remonté. C’est comme si on m’avait changé de petite fille.<h4 align="justify">ET POURTANT</h4><p align="justify">J’ai hésité à faire le « move ». Mais je crois, ce qui a aidé, c’est de voir que moi je l’étais aussi tda. J’ai juste compris comment elle se sentait dans une journée d’école, alors que le cerveau ne peut pas survivre à une journée aussi bruyante, dérangeante et fatigante. C’est difficile sur le moral, sur l’estime de soi et c’est surtout épuisant.<p align="justify">Je suis terriblement fière d’elles, de leur cheminement. Ça n’a pas toujours été facile pour elles, mais elles l’affrontent avec brio !Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-53241006666155696652017-11-19T08:09:00.001-05:002017-11-19T08:09:57.705-05:00La douleur<p>Moi, dans ma tête, je suis intolérante à la douleur. Dans ma tête, je suis très très intolérante à la douleur. Mais, je me fais faire des affaires de même (anneau en or, fait hier en avant-midi à Sherbrook chez <a href="https://www.facebook.com/unikpercagetatouagepage/" target="_blank">Unik Perçage et Tatouage</a> par <a href="https://www.facebook.com/unikpercagetatouage" target="_blank">Martin Lamarche, perceur</a>.):</p><p><br></p><p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-h91CElYRrng/WhGCoU6PzEI/AAAAAAAAQKw/7T5jhiwDUxAl0mcJLHXrtil8hGuJ_j3xQCHMYCw/s1600-h/23658859_1975003959487214_3647530624932777624_n%255B3%255D"><img width="658" height="494" title="23658859_1975003959487214_3647530624932777624_n" style="display: inline; background-image: none;" alt="23658859_1975003959487214_3647530624932777624_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-o2NleRmecu0/WhGCo97JtfI/AAAAAAAAQK0/hst3ltVa1wYBKCOj8axgpnHPphcm6mIFwCHMYCw/23658859_1975003959487214_3647530624932777624_n_thumb%255B1%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify">Chaque fois que je vais là, j’ai la trouille. Chaque fois que j’y vais, j’annonce mes couleurs en disant que je suis stressée, je sais pas si je vais restée allongée sur l’espèce de lit d’hôpital pas clair, que je vais mourir de peur et je mitraille les gens sur place de questions genre “ça vas-tu faire mal?”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Depuis le temps, championne, tu devrais le savoir si ça fait mal !!! Mais non…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Jusqu’à ce que je me retrouve “coincée” sur la “chaise/lit” entre les performances de Martin qui change du Milli Vanelli et Snap, qui s’enligne sur mon oreille pour me torturer de douleur…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">“T’es-tu prête? </p><p align="justify">- Go ! “ C’est là que j’inspire profondément pour gérer la douleur atroce qui va s’en venir.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et…. rien. J’appréhende une douleur énorme… mais non. Y se passe rien. Même pas mal. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Belle preuve, que je ne connais pas mes forces ! <img class="wlEmoticon wlEmoticon-smilewithtongueout" style="" alt="Smile with tongue out" src="https://lh3.googleusercontent.com/-LjcQS5Vnnn4/WhGCpMW06CI/AAAAAAAAQK4/Q04bEeyXnwA-DQJs4xCqdR-SLLIsGrezwCHMYCw/wlEmoticon-smilewithtongueout%255B2%255D?imgmax=800"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-17776800483842165382017-11-18T07:21:00.001-05:002017-11-18T07:25:20.557-05:00Drummondville<p><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-r0_KDyr7p50/WhAmrdgMdRI/AAAAAAAAQKQ/JVCATYxy-psAc1p-DQUk3xrBMfhxZbOSACHMYCw/s1600-h/auto-eb3cb20721_180%255B3%255D"><img width="637" height="360" title="auto-eb3cb20721_180" style="display: inline; background-image: none;" alt="auto-eb3cb20721_180" src="https://lh3.googleusercontent.com/-J2U1gSVnZTs/WhAmr4Y1OAI/AAAAAAAAQKU/OmH24bfMTOcNmVxgzyiY12R_6Sxd7JOrQCHMYCw/auto-eb3cb20721_180_thumb%255B1%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p><br></p><p>Rockin’ mama et moi, ça donne ça dans un char:</p><p><br></p><p>Moi “-Me semble qu’à chaque fois que je pense savoir où je m’en vas à Drummondville, je me ramasse jamais où c’est supposé. Je pense que la Ville vire de bord quand on essaie d’aller dans le Downtown. Sti, j’ai même pas vu la rue Marchand ”</p><p><br></p><p>Rockin’ Mama: -Je pense que Drummondville c’est une autre dimension. Y a jamais moyen de s’y rendre.</p><p><br></p><p>Moi: -ouais. Comme la planète Saturne avec les anneaux. Victoriaville tourne au tour mais tu peux jamais aller au milieu.</p><p><br></p><p>Rockin’ : -En fait, l’Europe est en périphérie de Drummondville. Quand tu descends de l’avion t’es pas vraiment en France.</p><p><br></p><p>Moi: -ouais pis la tour Eiffel, c’est un vieux pylône laitte.</p><p><br></p><p>Rockin’: -comme dans le film Labyrinthe. Mais pas le vieux qui est une reprise de l’autre, parce qu’il est trop ésotérique.</p><p><br></p><p>Moi: -What ?</p><p><br></p><p>Rockin’: -oui celui avec David Bowie. Il est trop genre ésotérique.</p><p><br></p><p>Moi: -Je m’en fous, moi je l’aurais donné le p’tit frère hahahahhahaha !</p><p><br></p><p>Tout ça parce que j’arrive jamais à entrer dans la ville du premier coup, je tourne en rond autour parce que je trouve pas la logique à Drummondville.</p><p><br></p><p>Et on se trouve très très très drôle.</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-19005706008420886252017-11-17T09:56:00.001-05:002017-11-17T10:06:36.451-05:00war<p align="justify"><a href="https://www.flickr.com/photos/baro/" target="_blank"><img width="658" height="467" title="Trooper... Stormtrooper" style="display: inline; background-image: none;" alt="Trooper... Stormtrooper" src="https://lh3.googleusercontent.com/-QTAUSewCwps/Wg76-4qcKMI/AAAAAAAAQJ0/NTqaPbFS3P4_RgUauwXSoW_l0j5pnE9xQCHMYCw/24470818789_fc8de2477b_o%255B11%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify">Le système est mal fait. Il n’est pas conçu pour aider la personne dans le “besoin”. J’ai l’impression qu’à par “caler” quelqu’un, ça donne pas grand chose. C’est décourageant. Mon avenir et ma sécurité dépendent de Pierre-Jean Jacques. Même si j’ai toujours donné le maximum. C’est relativement stressant.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et là, tu te débats pour essayer de trouver un moyen de sortir de là, sans t’enfoncer plus. Mais rien ne semble fonctionner. Tu avances et tu recules, comme si on pouvait faire les deux en même temps. Devant le “power” tu fermes ta gueule et tu subis.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Oui il y a des services offerts. Mais toi, le clown de bas étage, prouve moi que tu es fiable. Parce que le “Power” lui, décide de la survie de tout le monde. Même si lui est pas fiable.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On se retrouve sur un champ de bataille. Avec d’un bord ceux qui attisent la chicane, ceux qui la zieutent et les promesses de gendarmerie qui arrive pas. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Tu tiens ta mini épée avec le peu de courage qu’il te reste, caché sous ton bouclier en carton. Derrière le silence du néant est trop fort. Tu connais pas la fin, ni comment tu vas t’en sortir, tu sais juste que ça va être long possiblement et ardu. Tu sais pas, non plus, si ça en vaut la peine. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">“Indignez-vous” quand politiquement parlant tu dépends de ceux contre qui t’es supposé te battre. Et quand ça implique des dommages collatéraux trop grands, tout le monde se sauve en courant.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je voulais pas la vivre cette bataille. Ça ne me tente pas. J’aime pas ça. Surtout que c’est devenu la mienne par défaut, pas par choix.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’est là que je me dis que la rue est un beau refuge, mais c’est un trop grand prix à payer pour avoir la “criss” de paix. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On dit qu’en théorie tout est facile. Dans la bouche du monde aussi, tirer des conseils à blanc, c’est magnifique. Mais c’est la guerre de la théorie.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Moi, je suis dans la réalité.</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-76503148890360580542017-11-15T16:24:00.001-05:002017-11-15T16:36:29.264-05:00La mascarade des hypocrites<p align="justify"><a href="https://www.flickr.com/photos/7267428@N06/5890581580/in/photolist-9YwLFo-a6QgYv-r3rTNp-dVeDSD-edZmPJ-5kdSFU-6EreUu-5Y3TUM-cFjZwo-4whYgp-cMTsSG-gsm8xq-oPoCXN-615pdE-81168U-oPnMQQ-6VKYTQ-apw7Qi-61K43W-eDZsCA-iWMUs1-nn53yf-nFkVDr-iWN5fN-nDxUgL-a6QhcP-iWKXKq-nn4Svs-nFkTHn-nn4Tz1-nDgHw8-4i7UZT-apyPkb-61K46m-nDyyMe-615pc5-apw7JH-fFcHyP-61ERtH-nDgJ88-nn5ggB-nDyyXe-nBw2q3-daZKsu-apyPu7-nn4VeV-iWKA2V-nFkVNe-iWJf1g-2JLHiX"><img width="658" height="434" title="5890581580_f748ee499f_o" style="display: inline; background-image: none;" alt="5890581580_f748ee499f_o" src="https://lh3.googleusercontent.com/-qLkQUn-xtds/Wgyxk2A6oXI/AAAAAAAAQJU/ediNkgp-uGkggy2ZCJRhnJS3uPsZFpBkgCHMYCw/5890581580_f748ee499f_o%255B6%255D?imgmax=800" border="0"></a><p align="justify"><br><p align="justify">J’ai envie d’écrire. Ça me brûle les doigts. Décrire une situation qui n’a pas de bon sens. Même « pas de bon sens » c’est pas assez intense. Le genre de situation bouetteuse où tu devrais crier sur tous les toits pour dénoncer la situation. Parce que ça pas d’allure et qu’y a des gens qui subissent ça tous les jours.<p align="justify"><br><p align="justify">J’ai envie d’écrire. Mais je peux pas. Je suis obligée de me tenir comme du monde, parce que moi, j’ai de la classe et du respect. Je reste digne et intelligente. Mais je sais qu’un jour, ça va finir par sortir quelque part. Quand ça sera le temps. Les rumeurs font leur job… de creuser des sillages sur les chemins et laisses des traces. Se creusent et se profondisent pour finir en ravin pis peut-être que ces gens-là, qui ne sont pas fins, vont tomber dedans.<p align="justify"><br><p align="justify">J’ai envie d’écrire, parce que le cœur me brûle. Parce que je suis sous le choc d’un manque profond d’intelligence et de sensibilité. Un manque d’humanisme. Parce qu’il y a des situations, même les animaux ont plus de respect que ça entre eux. Y préfèrent se bouffer que de faire souffrir les leurs.<p align="justify"><br><p align="justify">Ça me donnerait quoi ? Rien. Rien d’étaler toute cette mascarade, parce que ce n’est que ça, la mascarade des hypocrites qui dansent jusqu’à ce qu’ils se pètent la yeule parce que leurs pieds sont pas tombés à bonne place. Parce que la craque de trottoir va avoir été plus brillante qu’eux.<p align="justify"><br><p align="justify">J’espère seulement qu’il n’y a rien de gratuit. Surtout pas dans la méchanceté, l’hypocrisie et la manipulation. Que d’avoir le droit de s’en servir, ça devrait coûter juste ben cher, crissement ben cher. <p align="justify"><br><p align="justify">Finalement, j’ai écrit… pis je n’ai rien dit. Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-44369066143816476912017-11-14T10:08:00.001-05:002017-11-14T10:44:54.084-05:00Rage<p>Mon café est frette. Je barbouille n’importe quoi dans mon moleskine, j’écris dans un autre cahier. Essayer de sortir cette rage qui est barrée en dedans. Attendant l’étincelle qui va faire que ça va péter ! Exploser, consumer…<p><br><p>Être comme un super héros qui tient une bombe à bout de bras, mais il ne sait juste pas où la pitcher pour éviter les dégâts. Essayer d’éviter le pire. Pour ne pas que ça pète dans face de la mauvaise personne. <p><br><p>Mais moi, je ne la lâche pas. J’suis comme prise avec. Parce qu’il ne faut pas faire du mal aux autres. Faut mettre des gants blancs maintenant pour exprimer ses émotions. Remettre en doute la validité de cette émotion, parce que ben voyons « t’exagères » pour pas grand-chose.<p><br><p>J’écris ces lignes, et à part vous partagez ma platitude, je sais que je ne fais pas grand-chose de l’fun actuellement. Je sais que je suis éteinte et qu’on ne me reconnaît put. Je sais que ma compréhension a rétrécie et que j’ai pu envie de faire d’efforts pour m’adapter aux autres. <p><br><p>Oui je me trouve plate. Assez pour rester enfermer entre 4 murs à réchauffer éternellement un café qui est pu bon, même réchauffer 12 fois dans le four micro-ondes. Sur le qui-vive prête à mordre le premier qui osera traverser la limite, MA limite. Qui va scraper mon terrain à coups de pied parce que lui, y s’en calice. Parce que ça lui apporte réconfort, bien être… parce que cette personne là, se choisit elle. Et elle s’en tape que je sois au bout ou non. <p><br><p>Elle va fermer son âme avec une clôture de barbelée pour me tenir loin. Parce qu’elle, cette personne, elle ne se préoccupe pas des dégâts.<p><br><p>Quand ma rage va sortir, j’aime autant mieux pas être là !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-76792113762032768132017-11-11T07:17:00.001-05:002017-11-11T07:25:12.646-05:00Changer<p><a href="https://www.flickr.com/photos/thomashawk/"><img width="658" height="422" title="Live Free" style="display: inline; background-image: none;" alt="Live Free" src="https://lh3.googleusercontent.com/-tXtcTFPQH44/WgbsD-PYK7I/AAAAAAAAQI0/OzMgX34MfaAdGeKlTV-6K8TipGbihd7LACHMYCw/26016131350_814099544e_o%255B13%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p><br></p><p>“I can’t change who i am”</p><p><br></p><p align="justify">Marginale, hypersensible, émotive, authentique, franche, rêveuse, créative, émerveillée, immature, dynamique, joyeuse, amusée, douce, tendre, romantique, nostalgique, sensuelle, débrouillarde, loyale, présente, empathique et sympathique, sociable, à l’écoute, fiable, impliquée, organisée, drôle, tenace, impulsive, inconsciente, responsable, leader positive, positive, ouverte d’esprit, spontanée, grande gueule, indignée, gentille, explosive, rayonnante, communicante, influente, fonceuse …</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">je ne peux pas changer, je ne dois pas changer… je dois accepter ! Même si ça ne vous convient pas. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mais la première personne à convaincre….. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">….. c’est moi !</p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-66018060887218872162017-11-07T06:48:00.001-05:002017-11-07T07:18:18.698-05:00Les vestiges de la lettre<p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-woKWf6iWYBo/WgGdox0dxeI/AAAAAAAAQII/2tgo_TbzVb4RjQDRC9Lo2oTnLwgMK3BWgCHMYCw/s1600-h/23244044_10154882756615766_4742504369435073007_n%255B4%255D"><img width="509" height="509" title="23244044_10154882756615766_4742504369435073007_n" style="margin-right: auto; margin-left: auto; float: none; display: block; background-image: none;" alt="23244044_10154882756615766_4742504369435073007_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-RMT-ew-f-f0/WgGdphPyBvI/AAAAAAAAQIM/RfyzEa_0mWsjdpUweZ3wOTa2kwPh-X79ACHMYCw/23244044_10154882756615766_4742504369435073007_n_thumb%255B2%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Dans mon temps (hahahahha), lorsque j’étais dans mon adolescence toute neuve, pour passer le temps dans les cours plates, on écrivait des lettres sur du “popier” (papier). Je dis “on”, mais en fait, c’est nous les filles. On avait même une manière de les plier pour éviter d’utiliser des enveloppes. Le tout agréablement écrit sur une vulgaire feuille de cartable pliée en simili “bateau” et on gardait contact avec notre BFF (best friend forever).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mais comme je ne suis pas dans la “norme”, je ne m’arrêtais pas là ! Oh que non ! C’était pas assez pour moi. Fallait pousser la note encore plus loin…. surtout après les films magnifiques de Robin des Bois et les Trois Mousquetaires joliment parsemé de la musique de Bryan Adams. </p><p align="justify"><br></p><h3 align="justify">PARENTHÈSE</h3><p align="justify">Je suis un être romantique (ceux qui en douterait)… J’ai dévoré tous les livres (une bonne dizaine) sur la saga des Trois Mousquetaires. J’affectionne littéralement la plume d’Alexandre Dumas (pas le journaliste, mais l’écrivain). S’ensuit Juliette Benoni et ses sagas de rois et de maitresses qui s’entretuent et s’empoisonnent…. Je suis littéralement fanatique.</p><p align="justify"><br></p><h3 align="justify">POUR EN VENIR À</h3><p align="justify">Et comme je ne fais pas que “tripper” sur ce genre, j’ai fini par écrire mes lettres avec le même style d’écriture que cette époque là. Comment se compliquer la vie, vous direz. Ben oui ! Mais c’était complètement délirant, amusant et tellement romantique. On pliait nos lettres, brûlait les bords pour faire vieillot et on scellait le tout avec de la cire. C’est bien parce que j’ai pas trouvé comment faire un sceau, j’en aurait mis un.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je vous épargne les surnoms de nos p’tits chums à ce moment là ! (hahahahhah)</p><p align="justify"><br></p><h3 align="justify">DERNIÈREMENT</h3><p align="justify">Je redécouvre ce plaisir. Reprendre le papier pour écrire. Des tonnes de pages jusqu’à ce que ma main en puisse plus. Toucher le papier, trouver le bon papier qui nous convient (ben oui), le bon crayon qui fera que ça coule tout seul et que ça devienne un plaisir coupable. Un papier entre la feuille de cartable et le gros luxe de la feuille de Noël. Jaser à la feuille, toute seule, entourée de musique, assise dans mon lit. Se concentrer sur ce moment là, qui reste présent. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’est du bonheur en “canne” <img class="wlEmoticon wlEmoticon-smile" alt="Smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-nTBuQYD6KL4/WgGdqEHZtYI/AAAAAAAAQIQ/kSGYC56bfKM0YSQlyh9jdHgu-IuDuYVWACHMYCw/wlEmoticon-smile%255B2%255D?imgmax=800"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-81307418495883266662017-10-25T07:40:00.001-04:002017-10-25T07:40:35.962-04:00L’héroïne de votre vie<p>Depuis mon “échec” (du moins je le vis de même) d’emploi, je cherche désespérément une solution à mon cerveau. Oui, parce que la madame, veut pas être différente. </p><p>En théorie, c’est presque intelligent, en pratique, mes thérapeutes m’attendent avec une bat de baseball pour m’enlever cette idée de “cave” de la tête.</p><p><br></p><p align="justify">Après avoir passé 2 heures avec l’hypno et où ma tête débloque pas du tout sur mon idée de “marde”, je suis allée à la Feuille Enchantée (magasin ésotérique) pour voir les livres et trouver quelque chose qui va me faire travailler l’acceptation de ma personne en entier.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je suis tombée sur ça ! Un livre léger, rigolo avec des défis à faire chaque jour. Et en plus c’est très drôle.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><a href="http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=2182346&def=Et+si+vous+deveniez+l%27h%C3%A9ro%C3%AFne+de+votre+vie+%3F%2CLESAGE%2C+ANNE-SOPHIE%2CLESAGE%2C+FANNY%2C9782263150005" target="_blank"><img width="430" height="574" title="22788650_10154852972695766_1722856439522898469_n" style="margin-right: auto; margin-left: auto; float: none; display: block; background-image: none;" alt="22788650_10154852972695766_1722856439522898469_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-LXIKqZVUK3g/WfB4Mtt3ktI/AAAAAAAAQHU/GLeJH_-6PJA26ZYGr7SVlyDtBbQVv7KdQCHMYCw/22788650_10154852972695766_1722856439522898469_n%255B4%255D?imgmax=800" border="0"></a></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Dans le livre, il y a des “entrevues” avec des blogueusese pour partager leur quotidien bienveillant.</p><p align="justify">Donc, afin de me diriger vers une bienveillance cervicale, j’ai décidé de faire l’entrevue, ici pour vous (eh oui !)</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><em><font color="#dd8484">Maryse St-Arneault, la maman étrange et différente</font></em></p><p align="justify"><font color="#cccccc"><font color="#a5a5a5">Auteure du blog </font><em><font color="#a5a5a5">Il était une fois dans le sud… du Québec</font> </em></font></p><p align="justify"><font color="#cccccc"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">Ton super pouvoir pour te lever le matin ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Je trouve que j’en ai pas. Mais mon chum (Fluffyman) trouve que je ressemble à un spring quand je sors du lit. En fait, si je reste dans mon lit éveillée, c’est le festival du hamster qui tourne dans mon lit. Comme j’aime pas ça, ben je me lève rapidement pour focusser sur mon café et profiter du silence. Je focusse beaucoup sur “savourer mon café”.</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">Un super conseil pour réussir ta journée ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Euh, 12 cafés ? lol – Le café permet de prendre du temps pour soi. J’ouvre mon Open Livre Writer et souvent, c’est à ce moment là que j’écris mes articles de blog. Écrire me permet de partager ce que je ressens, je vis… c’est comme si je le “pitchais” dans l’univers et que ça ne m’appartenais plus. Ça soulage.</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">À ton échelle, comment essayes-tu de sauver l’univers ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">C’est mon éternel problème. J’veux trop ! Je fais quoi ? J’ouvre ma grande “yeule” tout le temps. Je souligne les préjugés, je m’indigne et j’aime bien répéter au passage que c’est “dont ben niaiseux”. En écrivant mon indignation sur mon blog, ça me permet de le faire “aquéquatement”, du moins je trouve. Mais c’est plus fort que moi, je dois le dire. Sinon, comment faire pour faire allumer les gens que la situation n’a pas d’allure ? </font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">L’endroit où tu régénères tes pouvoirs ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Des arbres, de l’eau, une montagne… là où il n’y a personne. Seule avec l’eau qui coule, les oiseaux qui chantent, le soleil qui frappe ma peau, le froid qui glace mon visage, les arbres qui craquent, les bébittes qui sillent, un feu de camp qui danse, l’odeur du bois, de la fumée. Mon cerveau arrête de tourner. C’est là que je suis soulagée de mes pensées et que le temps arrête. </font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">Quel super woman voudrais-tu être ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Jane Gray (le pheonix) dans Xmen ou Daenerys Targaryen, Game of Throne. Pourquoi ? je sais pas. Ces personnages puissantes m’attirent et bizarrement elles “jouent” avec le feu. Un allié. Elles illustrent la force, la sensibilité et leur solidité. Elles sont puissantes. Elles doivent contrôler leurs pouvoirs pour être encore plus redoutées et attention à l’erreur, c’est irréversible. </font></p><p align="justify"><font color="#666666"><br></font></p><p align="justify"><font color="#666666">Quel super défi aimerais-tu lancer aux lectrices ?</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Chaque jour, essayer de porter attention à votre environnement. Comme un enfant le ferait dehors. Qui réussi à trouver une chenille sur une feuille, voir les nuages en forme d’éléphant, une feuille différente sur le sol, la couleur de l’été, l’automne et l’hiver.</font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Émerveillez-vous devant quelque chose. Trop de gens ne voient plus ces petites choses. On marche les yeux fermés. Alors qu’une tonne de richesses et de merveilles nous entoures. </font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Ne pas chercher pourquoi c’est comme ça, juste s’émerveiller comme si c’était la première fois que vous le voyez. </font></p><p align="justify"><font color="#a5a5a5">Comme les enfants ! </font></p><p align="justify"><a href="http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=2182346&def=Et+si+vous+deveniez+l%27h%C3%A9ro%C3%AFne+de+votre+vie+%3F%2CLESAGE%2C+ANNE-SOPHIE%2CLESAGE%2C+FANNY%2C9782263150005" target="_blank"><br></a></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-34516996133128634512017-10-11T07:29:00.001-04:002017-10-11T07:34:03.505-04:00Magasiner une école<p align="justify"><a href="https://lh3.googleusercontent.com/-Ux5l3hFQcBE/Wd4AqVlnMgI/AAAAAAAAQGw/otYuLNDdgVUA_GBpqfk3quh3QqYh38s2ACHMYCw/s1600-h/21761503_10154757581460766_6817472701174386215_n%255B3%255D"><img width="392" height="392" title="21761503_10154757581460766_6817472701174386215_n" align="left" style="margin: 0px 5px 0px 0px; float: left; display: inline; background-image: none;" alt="21761503_10154757581460766_6817472701174386215_n" src="https://lh3.googleusercontent.com/-RtdwQI6o290/Wd4Aq34dw4I/AAAAAAAAQG0/-agyvLMq-RQZBMuj66fumCATmNlEiYpxQCHMYCw/21761503_10154757581460766_6817472701174386215_n_thumb%255B1%255D?imgmax=800" border="0"></a>Les écoles, aujourd’hui, offrent une panoplie d’études pour attirer les jeunes. Sports études, arts visuels, danse…. et j’en passe. </p><p align="justify">C’est le bordel pour l’enfant, qui est seulement en 6e année, de choisir un endroit et un domaine. Pour ma part, Bianca a “sticker” sur Arts Visuels, ne sachant pas trop que c’était possible qu’elle ne soit pas choisi. Donc, pas de plan de B dans sa tête et la seule option c’est “je veux pas la polyvalente!”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Sauf que, j’ai été à la polyvalente (qui est devenue l’académie des Estacades maintenant) et je suis toujours vivante. On a de la misère à se faire une tête sur notre avenir au Cegep, on demande pas à un enfant de 6e année de choisir un type de concentration. Mais ça c’est ma vision des choses.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">En plus, comme j’ai vécu avec Gabriel, si l’enfant ne réussi à pas suivre dans ce style de classe, il est “pitché” à la polyvalente au régulier. Et là, confiance en soir, –12 000. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On parle d’égalité, d’aide, d’arrêter de créer des “paliers” et de la compétitivité… mais on créer ce genre de situation qui augmente les écarts “sociales”. Un peu comme les “riches” pis les “pauvres”. Parce qu’on s’entend, en plus, si tu as pas les moyens, tu finis aussi à la polyvalente au régulier et tu passes encore pour le “poche” du groupe. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je vois actuellement Bianca qui est stressée par rapport à son secondaire. De 1, l’école le Boisé a tellement mauvaise “presse” qu’elle veut pas y aller (ben oui une polyvalente c’est le higway to hell). Ensuite, l’examen afin de savoir si tu es choisie. Pauvre chouette, elle est tellement pas rendue là. En plus, de moi, qui gaffe monumentalement sur son choix de cours parce que je pense la connaître et je veux lui donner un plan B pour son secondaire.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et si le meilleur c’était juste, de les laisser être des enfants ? S’amuser, apprendre et découvrir….</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">ça c’est comme les “calices” de Lutins à Noël ! (ça me fait pogner les nerfs!)</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On peut ben faire de l’anxiété à 9 ans. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1732460728627103742.post-49087844633607054422017-10-07T09:38:00.001-04:002017-10-07T09:38:22.453-04:00Première job<p align="justify"><a href="http://www.st-paulin.qc.ca" target="_blank"><img width="370" height="424" title="Conseil municipal 1999-2001" align="left" style="margin: 0px 6px 0px 0px; float: left; display: inline; background-image: none;" alt="Conseil Municipal de Saint-Paulin 1999-2001" src="https://lh3.googleusercontent.com/-n218OBsdL2w/WdjYxsnbAcI/AAAAAAAAQGE/tTfpFJItGt0vAgo6_S_oqZGJ5VN53Ng3wCHMYCw/1999-2001%255B4%255D?imgmax=800" border="0"></a>1999. Je termine mon AEC en bureautique au Collège Moderne au Cap-de-la-Madeleine (mais qui a été repris par le Collège Laflèche).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">À ce moment-là, j’habitais Maskinongé (par l’autoroute 40, en sandwich entre Trois-Rivières et Montréal);</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">J’étais convaincue que j’aurais du travail. Ma mère m’a pourtant répété que dans la MRC de Maskinongé, je trouvais jamais rien. Et pourtant…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mais j’ai une tête <strike>de cochon</strike> dure !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Quelques mois après ma recherche d’emploi intensive, j’étais appelée pour une entrevue. J’ai pas de souvenirs de l’entrevue comme tel, mais, semble-t-il, j’étais bonne en français. J’ai eu le poste de secrétaire pour le 150e de Saint-Paulin, sous une subvention d’Emploi-Québec donné au Comité, qui permettait d’acquérir de l’expérience de travail.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">C’était ma première job, avec le rural, le municipal et comme étrange du Village (ben oui, j’habitais à Maskinongé) !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je parle de cet événement et de cette première job, parce que je crois qu’elle est en cause dans mon “problème” actuel en tant que “secrétaire” !</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">“Sky is the limit” a pris tout son sens ! Et pas à peu près. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">On m’a sorti de ma zone de confort, poussée à faire des tâches qui n’avaient aucun rapport avec le secrétariat, on m’a déstabilisée… quand je répondais “ben c’est pas une job de secrétaire”, je me faisais répondre “non, mais tu es capable de le faire!” (mais là je parle pas de laver la salle de bain du musée <img class="wlEmoticon wlEmoticon-winkingsmile" style="" alt="Winking smile" src="https://lh3.googleusercontent.com/-WNrCY5esmOk/WdjYx-9mo1I/AAAAAAAAQGI/qGxZ76myqj0TmOu3CdP4M48HPP_DQ_GEACHMYCw/wlEmoticon-winkingsmile%255B2%255D?imgmax=800">). Je me suis impliquée et donnée à fond. J’ai appris à exprimer mon désaccord librement, de manière appropriée. Je n’étais pas juste une exécutante qui se la ferme ! Il fallait, créer, innover, participer… </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Et après ça, tu supposes que toutes tes expériences de travail, ça sera ça ! Parce que c’est la seule chose que tu as connu. Erreur…</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Lorsqu’il y a embauche d’une secrétaire, on embauche une secrétaire. Qui fera ce qu’on lui demande, d’une certaine manière. On veut pas une tornade qui veut s’impliquer, améliorer, innover et changer le monde (du moins je crois).</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Mon frère a déjà dit, et je cite, “Toi en secrétariat ?! Ben oui, le patron va te demander un café et tu vas lui répondre: t’as deux jambe, va te le faire!” – Il a pas tord. Pourtant j’ai toujours fait du café à mes patrons <img class="wlEmoticon wlEmoticon-laughingoutloud" style="" alt="Laughing out loud" src="https://lh3.googleusercontent.com/-kTY58TSd8Nw/WdjYyUCFk8I/AAAAAAAAQGM/o3xYv2ocH08GC1sL8SookfvowbFJHfHGwCHMYCw/wlEmoticon-laughingoutloud%255B2%255D?imgmax=800"></p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Je réalise cela aujourd’hui, parce que j’ai passé des examens de secrétariat pour un emploi. J’ai senti que j’étais pas à ma place. Je me suis demandée sincèrement, ce que je faisais là. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Est-ce que j’ai été réellement secrétaire ? je pense pas. </p><p align="justify"><br></p><p align="justify">Est-ce que je veux être juste secrétaire ? je pense pas non plus.</p><p align="justify"><br></p><p align="justify">"Sky is the limit”</p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><br></p><p align="justify"><br></p><p align="justify"></p>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/02665946504086162039noreply@blogger.com0