Je ressens ta souffrance. Tout l’amour que tu lui portes. La douleur qui t’accable et la noirceur qui se pointe devant. Je comprends ta peine et tout ce qui autour s’éteins. Une déchirure intense qui s’amplifie au son de sa voix, devant son image, s’accrochant au moindre mot comme une étincelle d’espoir… vers un peut-être que !
Je sais le désespoir qui t’habilleras parce que tout ce qui était, n’est plus. L’envie de te fermer à vie pour ne plus revivre cette grande cicatrice. L’illogisme te fera dire tout et rien, pour que la peine prenne le bord… mais rien ne te soulagera. Rien. Même pas moi.
Le bonheur deviendra inaccessible, crois-tu. Verrouillé dans une dalle de béton, au cas où, ça pourrait se reproduire. Mais il faut que ça se reproduise. Pour effacer. Pour recommencer. La forêt ne s’empêchera pas de pousser, parce que le feu pourrait pogner dedans.
Il faut clore le souvenir dans les larmes, pour renaître meilleur encore. Plus fort et pour quelqu’un qui reflètera tes émotions au diapason.
Sois plus fort que moi, j’ai pu l’être. Si j’ai pu être forte… et sûrement plus intelligent. Sois plus intransigeant que moi. Parce que je n’ai pas su l’être.
Et décalice du feu ! Parce que ça fait juste mal.
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