Quand la peur s’envole doucement;
Quand les têtes de mort n’intéresse presque plus;
Quand l’équilibre s’installe dans les couleurs et que l’envie de choquer se désiste;
Quand on arrive à accepter qu’on est un être à part entière malgré les cicatrices mais qu’elles ne font plus mal;
Quand la solitude ne pèse plus, mais qu’elle soulage;
Quand tout et rien ne déchire plus, détruit plus et ne fait plus aussi mal;
Quand accepter sa différence, son intensité et arriver à mettre des mots sur ce qui nous fait vibrer en bien comme le mal;
Quand la confiance revient et qu’enfin la peur de souffrir disparait…
On sait enfin qu’on y est presque !
Wow! quelle plume as-tu Maryse!!!
RépondreSupprimerEn plus, tu as bien raison!
Miss G