Des voyages sous les vents de pianos, des éclats de rires en glissant sur les lames de glaces, des longues discussions en roulant sur le bitume, des émotions à ne plus finir par ondes téléphoniques… de tout il était question.
Recréer le monde en 30 secondes, organiser des projets pour le plaisir de rire et de partir sur une dérape à 7 h le matin, parce que c’est l’fun. Partager ton excessif positivisme, ta façon de pensée… tu m’apaises.
Mon partner de patins, de rollers, de joies, de peines… de tout. J’ai tellement été plus forte pendant ta maladie. Juste pour te dire toutes les niaiseries du monde, pour que tu puisses partir en riant. Je voulais te voir rire tellement plus que souffrir.
Comme si la maladie était une punition, pour toi, pour nous. Et pourtant tu ne la méritais pas. Et égoïstement, nous non plus, on ne la méritait pas.
Je sais aujourd’hui, que ton départ cette nuit, est un soulagement pour ton corps. Que tu es vraiment mieux d’arrêter de souffrir et que tu peux enfin profiter d’un paisible repos. Je sais que c’est mieux comme ça.
Mais, caline, malgré tout ce que j’ai pu constater depuis presque 1 an… je ne m’habituerai pas à ton absence.
Si tu m’entends, ou tu me lis de où tu es… Je t’aime André.
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