J’ai d’abord décidé de laisser mon conjoint parce que la vie à deux que je souhaite, ce n’était pas celle là que j’avais depuis 10 ans. J’ai été poussé dans le derrière par un évènement qui ressemble à un coup de poing en plein visage et qui a l’impact d’un 10 roues. J’osais pas en parler. Peur du jugement encore et je sais que je vais avoir des drôles de commentaires. Mais je m’en fous.
Lorsque j’étais en Maison d’hébergement, on m’a dit que la Maryse qu’elles connaissaient s’exprimait à fond. Ce qui explique la présence de mon blog selon elles. Je suppose que je tiens ce blog, pour justement sortir le “méchant” quoi que les gens en pense.
Bref, l’évènement en question, c’est une autre personne. Un grand coup de cœur qui a chamboulé ma vie et mes émotions. J’ai vu la personne avec qui je pourrais partager des bouts de projets, du sport, des rêves et des voyages. J’y ai vu une complicité tant au niveau émotif, artistique, créatif et sportif. Quelqu’un qui m’aidait à me dépasser et à évoluer. Quelqu’un qui m’encourageait, qui me faisait rire, sociable et de bonne humeur.
Mais ma vision, n’est pas nécessairement la même pour l’autre personne. Ma situation difficile a eu un effet de rebound et je pense que ça n’a juste pas aidé à la situation. Peut-être aussi que ce que je suis, émotivement parlant, reste un peu effrayant pour des gens, alors que pour moi, c’est juste normal de vivre intensément.
Dimanche, il a décidé de mettre fin à quelque chose qui semblait être une relation. Depuis, je ressemble à un zombie sur pattes, ne comprenant pas trop le pourquoi du comment. Du moins, ne comprenant pas trop ce qui ne pourrait pas s’arranger !
Je revis des émotions que je ne voulais pas nécessairement revivre. Des blessures que je préférais garder bien loin. Et ça fait étrangement mal.
J’ai décidé d’écrire parce que normalement, quand ça va pas, c’est ce que je fais. J’écris, jusqu’à ce que mes doigts en peuvent plus. J’écris parce que c’est comme ça que je peux faire sortir le “méchant”. J’écris parce que c’est ma manière de faire un deuil de quelque chose dans lequel je croyais très fort.
Cette année est une année de deuil, y en a pas mal. Mais ça l’air que je suis faite forte et que je suis capable de me relever à chaque fois. Je suis juste fatiguée de me relever et de me battre contre le courant.
“Il n’y a que les poissons morts qui suivent le courant! “
- Proverbe-
Lache pas ma belle et oui tu va te relever!
RépondreSupprimerOui je suppose, c'est juste dure à penser là :)
SupprimerCourage Maryse, dans ces cas là j'aime me dire que le meilleur est à venir!
RépondreSupprimerJ'espère que le meilleur est à venir !
SupprimerJe vous souhaite bon courage ! bises
RépondreSupprimerMerci !
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