Je sais, pour plusieurs c’est presque rien. Pour moi, c’est beaucoup. Le chemin parcouru est grand. Ça me semble une éternité pour faire un deuil, pour prendre soin de moi et arriver à être prête pour rencontrer quelqu’un. À temps partiel, je me sens prête. D’autres fois, j’ai même pas envie d’entendre le mot concession. J’ère …
Je réalise que partager la même demeure avec quelqu’un, ce n’est plus un désire profond. J’suis bien dans ma bulle, avec ma gang. Et possiblement que c’est mieux comme ça. Du moins pour le moment.
J’ai appris à ne plus attendre après quelqu’un. Ni à assomer l’autre de textos. Je pense à moi. Pis si vous êtes pas contents, ben de la marde. Je n’arrange plus mes horaires pour arriver à tout arrimer ensemble. Je priorise mes amis et ma gang.
Ce que je trouve difficile depuis juin, c’est de penser qu’on m’utilise plus souvent qu’autrement. Et que ce que je suis, fais peur aussi. Mais que malgré ça, je dois rester moi.
J’ai même éclipsé du monde de mon univers. Parce que ça n’entre pas dans mes critères. Et surtout parce que pour passer à autre chose, c’est ben mieux de ne pas avoir l’autre dans sa face.
Bref, je vais vers l’avant. Vers du meilleur… mais tout doucement, à petits pas.
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